Le Baccalauréat en France

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    Qui a eu cette idée folle, un jour d’inventer… le Baccalauréat ? Nous connaissons tous la chanson, mais savez-vous quand a eu lieu le premier Bac ? Découvrez ici toute l’Histoire du Baccalauréat, depuis sa création jusqu’aux grandes réformes actuelles.

    L’Histoire du Baccalauréat en France

    Il était une fois… le Baccalauréat. Souvent imité, jamais égalé, l’examen du Bac reste une véritable institution française qui existe depuis le Moyen-Âge.
    L’étymologie du mot « baccalauréat » vient du latin « bacca laureat » qui signifie littéralement « couronne de laurier ». C’est en ce sens que nous pouvons admirer une couronne de lauriers, en fond, sur chacun de nos diplômes français et notamment celui du Bac.

    Au Moyen-Âge : le premier Baccalauréat

    Le Moyen-Âge est une période souvent considérée, à tort, comme une période sombre et sinistre. L’imaginaire collectif garde en mémoire les guerres, les épidémies et bien évidemment le succès cinématographique Les Visiteurs qui, disons-le, reste peu flatteur pour la population de l’époque. Et pourtant, c’est au Moyen-Âge que sont créées les premières grandes universités comme L’Université de Paris ou plus tard La Sorbonne. Aussi, le Baccalauréat, proposé pour la première fois au XIVe siècle, reprend les disciplines dispensées à cette époque : la Théologie, la Médecine, le Droit et les Arts. Ce diplôme offrait la possibilité d’enseigner dans ces nouvelles universités, c’était donc l’équivalent de notre doctorat actuel, ce qui en dit long sur le niveau de difficulté de ce premier Bac ! L’effervescence intellectuelle du Moyen-Âge reste néanmoins genrée : seuls les hommes pouvaient s’inscrire au Baccalauréat.

    La Révolution française : le Baccalauréat décapité

    En 1789, la France ne comptait pas moins de 22 universités. Considérées alors comme le symbole du pouvoir intellectuel du clergé (l’enseignement étant essentiellement théologique) et des privilèges royaux et bourgeois, elles ont été supprimées par l’Assemblée constituante de 1789. C’est de fait, la suppression du Baccalauréat.

    1808 : le Baccalauréat napoléonien

    C’est en 1808 que Napoléon Bonaparte va réintégrer l’examen du Baccalauréat sous la forme que nous connaissons aujourd’hui. La première session date de 1809 et seulement 31 candidats ont été admis ! Nous sommes loins des taux de réussite actuels… À cette époque, l’examen n’était constitué que d’épreuves orales et l’évaluation chiffrée n’existait pas encore : il s’agissait de mention allant de « très bien » à « mal ».

    Historique des réformes du Baccalauréat en France

    La réforme Jules Ferry de 1890

    Le Baccalauréat séduit de plus en plus. Aussi, à la fin du XIXe siècle, ce sont plusieurs centaines de candidats qui sont inscrits à l’examen. Jules Ferry, entreprend donc de réformer ce Bac qu’il juge trop suranné. C’est la fin des épreuves intégralement orales et le début de la notation chiffrée de 0 et 20. Par ailleurs, les épreuves concernant des œuvres latines et grecques sont remplacées par des épreuves de Français et d’Histoire, beaucoup plus en adéquation avec les attendus de l’époque.

    Au XXe siècle : des évolutions perpétuelles

    En 1901 : création de la première loi qualifiant la fraude à un examen officiel comme un délit.

    En 1924, les femmes sont pour la première fois autorisées à s’inscrire au Baccalauréat. Mais c’est en 1861 que la première femme, Julie-Victoire Daubié, a pu passer pour la première fois l’examen en 1861 grâce à l’intervention de l’impératrice Eugénie. Même à l’époque, cultiver son réseau – et aussi son jardin – était essentiel.

    En 1965, cinq sections ou filière au Bac sont définies :

    • la section A : concerne les études littéraires, linguistique et philosophiques ;
    • la section B : concerne l’Histoire-géographie, les Sciences-politiques et l’Économie ;
    • la section C : concerne les Mathématiques, la Physique, la Chimie, la géométrie et l’algèbre  ;
    • la section D : concerne la biologie et la géologie ;
    • la section E : associe un enseignement scientifique  à un enseignement technique industriel.

    En 1968 est mis en place le premier Bac Technologique. il faudra attendre 1985 pour féliciter les premiers candidats au Bac Professionnel.

    En 1969 est inauguré le premier Bac Français.

    En 1995, les filières E, B, C, D et E sont remplacées par les filières L (littéraire), ES (Économie et Social) et S (Scientifique).

    2018 : la plate-forme Parcoursup

    Le Bac s’est alors très largement démocratisé et n’est plus réservé à l’élite française. Il s’agit désormais d’une certification pour accéder aux études supérieures. En 2018, APB tire sa révérence et devient Parcoursup : un système de formulation de vœux et de candidatures en ligne que vont effectuer les futurs bacheliers pour accéder aux études supérieures.

    2019 : la réforme du Lycée général

    Les élèves de Seconde entrant en Lycée en 2019 seront les premiers bacheliers du nouveau Bac de 2021. La réforme du Lycée marque la fin des trois séries générales au profit de 12 enseignements de spécialités . En fin de Seconde, les élèves en choisissent 3 pour l’année de Terminale et en abandonnent une en Terminale. 

    Les 12 spécialités proposées sont alors :

    • Humanités, littérature et philosophie (HLP)
    • Arts (Histoire des arts, théâtre, arts plastiques, arts du spectacle, arts du cirque, danse, musique, cinéma audiovisuel)
    • Biologie & écologie (dans les lycées agricoles seulement)
    • Histoire Géographie, Géopolitique et Sciences politiques (HGGSP)
    • Langues Littératures et cultures étrangères et régionales (LLCER) avec comme langue au choix : anglais, anglais monde contemporain, allemand, espagnol, italien
    • Littérature, Langues et culture de l’Antiquité (LLCA)
    • Mathématiques
    • Numérique et Sciences informatiques (NSI)
    • Physique-Chimie
    • Sciences de la vie de la Terre (SVT)
    • Sciences de l’ingénieur (SI)
    • Sciences économiques et sociales (SES)

    Le passage en Première générale se veut donc plus sélectif puisqu’il ne s’agit plus d’exceller dans une seule ou deux matières mais de montrer des compétences dans l’ensembles des disciplines du tronc commun. 

    Les autres nouveautés de la réforme du Bac

    • les E3C sont instaurées : il s’agit d’évaluations communes d’épreuves continues dans les matières du tronc commun (deux sessions en Première et une en Terminale).
    • Le contrôle continu évalue à hauteur de 10% les bulletins scolaires (toutes les matières sauf celles des E3C et du Français).
    • Une nouvelle épreuve apparaît : le Grand Oral.

    Toutefois, ce qui était initialement prévu a été clairement modulé dans le contexte de la crise sanitaire. En effet, Les élèves de Terminale ont eux aussi finalement validé leur Bac en contrôle continu. Cette modification a amorcé un contrôle continu de plus en important pour les sessions suivantes.

    2020 : un Bac hors du commun

    Suite à l’épidémie de Covid-19, les épreuves  écrites et orales du Baccalauréat en Terminale ont été annulées au profit d’une notation intégralement en contrôle continu.  Les élèves de Première n’ont passé ni les épreuves du Bac Français ni l’épreuve sur la spécialité abandonnée, finalement évaluées de fait en contrôle continu. La ressemblance avec le Bac de 1968 a été très largement effectuée. Cette annulation des épreuves a eu un effet exceptionnel sur le taux de réussite, avec 95,7 % d’admis (contre 88,1 % en 2019). Du jamais vu !

    2021 : les derniers ajustements

    Il y a eu « des réformes des réformes » ainsi que de nombreux ajustements suite à la mise en place du nouveau Bac et à cause de la crise sanitaire. Aussi, en 2021, ont eu lieu les dernières modifications :

    En Première

    • Les E3C deviennent les EC, avec de nouvelles modalités. Les établissements ont une liberté de choix de dates et de sujets afin de correspondre au mieux à ce que les élèves ont étudié avec leurs professeurs. Cette modification est la conséquence de l’enseignement hybride et est annoncée en début d’année scolaire.
    • Les EC sont finalement annulées au profit d’une évaluation en contrôle continu. Au cours de l’année, le ministre de l’éducation nationale a finalement fait le choix de supprimer définitivement les évaluations communes. Les élèves de Première du Bac 2021 n’auront donc jamais connu ni les E3C ni les EC.
    • Le Bac Français est préservé.

    En Terminale

    • Le Grand Oral est inauguré : les élèves de Terminale du Bac 2021 sont les pionniers de cette nouvelle épreuve qui a pour but de développer les compétences oratoires des futurs bacheliers.
    • Les notes obtenues en Première lors de la première session d’EC, des matières finalement évaluées en contrôle continu et les notes du Bac Français sont comptabilisées pour le calcul final.

    Pour la session de juin 2021, les modalités d’examen ont donc été adaptées selon la crise sanitaire : les deux épreuves de spécialité ont finalement été évaluées en contrôle continu, un sujet multiple a été proposé pour le Bac Français et seule la meilleure note (entre l’épreuve finale et le contrôle continu) pour la Philosophie a été retenue.

    2022 : le nouveau Bac enfin inauguré !

    En juin 2022, les bacheliers connaîtront la forme entière du nouveau Bac. Les dernières années ont orienté les réflexions vers un passage du Bac en quasi contrôle continu.
    Le Bac se compose désormais de 40 % de contrôle continu et de 60 % d’épreuves terminales.
    Aussi, la nouvelle et dernière forme du Bac est la suivante :

    En Première

    Le contrôle continu repose sur la moyenne annuelle de Première dans chacune des matières du tronc commun :

    • Histoire-géographie
    • LVA et LVB
    • EPS
    • Enseignement scientifique
    • Enseignement moral et civique

    Le coefficient final appliqué est de 6 (3 en Première et 3 en Terminale) sauf pour l’EMC qui est de 2 (1 en Première et 1 en Terminale). Par ailleurs, le contrôle continu en Première concerne aussi la spécialité abandonnée, coefficient 8.
    À noter : les enseignements optionnels sont aussi évalués selon les modalités du contrôle continu. Ils seront crédités d’un coefficient de 4 s’ils sont suivis depuis la Première et de 2 s’ils ne sont suivis qu’en Terminale.
    En somme, la seule matière évaluée en fin de Première est le Français dans le cadre des EAF (Épreuves anticipées de Français).

    En Terminale

    Le contrôle continu en Terminale repose sur la moyenne annuelle de Terminale dans les 5 matières du tronc commun :

    • Histoire-géographie
    • LVA et LVB
    • EPS
    • Enseignement scientifique
    • Enseignement moral et civique

    Le coefficient pour ces matières est de 6 (3 en Première et 3 en Terminale) et 2 pour l’Enseignement moral et civique (1 en Première, 1 en Terminale).

    À noter : les enseignements optionnels sont aussi comptabilisés dans le contrôle continu avec un coefficient de 4 s’ils sont suivis depuis la Première et de 2 s’ils ne sont suivis qu’en Terminale.

    Les épreuves terminales se déroulent à la fin de l’année : 

    • Philosophie : coefficient 8
    • Grand Oral : coefficient 10
    • Spécialités : coefficient 16 pour chacune des deux épreuves.

    C’est donc officiel : depuis la réforme du Bac et du Lycée, l’examen se déroule sur les deux dernières années de Lycée, en Première et en Terminale : c’est la fin des révisions de dernières minutes ! 

    Lire aussi : La réforme du Bac

    Les différents types de Bac en France

     Il existe trois types de Baccalauréat, correspondant aux trois voies des études en Lycée :

    • le Baccalauréat général ;
    • le Baccalauréat technologique ;
    • le Baccalauréat professionnel.

    Le Baccalauréat général

    Il s’agit du Bac qui enregistre le plus de participation. Serait-il également le plus difficile ? La réponse varie d’un lycéen à un autre, mais toujours est-il que son objectif est de valider des compétences et des acquis afin de prétendre aux études supérieures. Le Baccalauréat général, comme son nom l’indique, a donc pour but de contrôler les acquis et le niveau de culture, toutes disciplines confondues.

    Les débouchés du Bac général

    Celui-ci a pour objectif de vérifier si vous êtes aptes à entrer à l’Université ou en classes Préparatoires. Les titulaires de ce Bac pourront prétendre à de nouveaux diplômes leur permettant de s’insérer dans le monde de l’emploi puisque le Bac général n’est pas une formation professionnalisante. Classiquement, les titulaires d’un Bac général se destinent vers des études supérieures longues, ce que l’on appelle le cursus LMD (Licence, Master, Doctorat), même si la majorité des étudiant s’arrêtent à la lettre M. Les diplômés peuvent aussi s’orienter vers des études supérieures plus courtes comme un Brevet de technicien supérieur (BTS) ou un Bachelor universitaire de technologie (BUT).

    Le Baccalauréat technologique

    L’enseignement technologique se caractérise par des méthodes pédagogiques inductives (les théories sont déduites de cas particuliers) appliquées à des objets d’étude concrets, à contre-courant des enseignements purement abstraits de la voie générale.

    Le cursus technologique est divisé en 8 séries, chacune organisée autour des grands domaines de connaissances appliquées au différents secteurs d’activités :

    • STI2D (sciences et technologies de l’industrie et du développement durable)
    • STD2A (sciences et technologies du design et des arts appliqués)
    • STMG (sciences et technologies du management et de la gestion)
    • ST2S (sciences et technologies de la santé et du social)
    • STL (sciences et technologies de laboratoire)
    • S2TMD (sciences et techniques du théâtre, de la musique et de la danse)
    • STHR (sciences et technologies de l’hôtellerie et de la restauration)
    • STAV (sciences et technologies de l’agronomie et du vivant), uniquement dans les lycées agricoles

    Certaines séries sont très difficiles d’accès. C’est notamment le cas de la série STD2A qui, en plus d’être proposée dans peu d’établissements, demande une réelle appétence pour les métiers artistiques.

    Les débouchés du Bac technologique

    De manière générale, ce Bac est davantage destiné aux élèves ne souhaitant pas faire d’études post-Bac longues – à l’inverse du Bac général – et sont plutôt orientés vers des BTS, des BUT ou des Licences Professionnelles. Toutefois, rien n’est gravé dans le marbre et il est tout à fait possible d’accéder à une bonne école de commerce après un Bac STMG, à condition de fournir les efforts et les résultats nécessaires.

    Le Baccalauréat professionnel

    Le Bac professionnel est un diplôme national. Il permet d’entrer rapidement dans le monde du travail, de se spécialiser ou de poursuivre des études pour préparer un BTS ou un autre diplôme. Il s’agit d’un Bac souvent peu estimé, à tort, dans la mesure où combiner cours et formation professionnelle n’est pas toujours aisé, il faut être motivé et aimer son domaine d’études pour bien réussir. Il existe plus de 80 spécialités : de quoi trouver chaussure à son pied !

    Les débouchés du Bac professionnel

    Le Bac professionnel offre une qualification reconnue sur le marché de l’emploi et répond à la demande et aux exigences des entreprises. L’enseignement se réfère à des métiers et comprend des stages appelés PFMP (périodes de formation en milieu professionnel).

    Les évolutions chiffrées du Baccalauréat

    Depuis maintenant quelques années, le taux de réussite au Bac coudoie les 90 %. Les élèves sont-ils meilleurs ? Le diplôme est-il plus facile d’accès ? Regardons de plus près l’évolution de la part d’une classe d’âge diplômée du Bac et l’évolution du taux de réussite.

    L’évolution de la classe d’âge ayant le Bac

    Aujourd’hui, environ 20 % des jeunes ne sont pas diplômés du Bac contre 70 % en 1985. En effet, il y a 30 ans, seulement 3 jeunes sur 10 avaient le Bac, l’évolution est donc considérable et répond à un objectif fixé par le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Pierre Chevènement, en 1985 : lutter contre l’illettrisme et garantir un socle commun de connaissances. Peu importe le taux d’échec dans le supérieur, la volonté était de s’assurer une égalité d’accès à l’éducation et de réduire le chômage avec un objectif de 80 %  de bacheliers au sein d’une même génération.

    Le but des 80 % jamais atteint !

    Entre 1995 et 2010, le pourcentage de bacheliers au sein d’une génération n’a pas dépassé les 65%. Il faudra attendre 2012 pour s’en approcher : 76,7 %. Le record est attribué à la session de 2017 : 79,6 %. Les données de ces dernières années ne sont pas encore accessibles mais peut-être qu’avec la création du nouveau Bac nous allons pouvoir nous en approcher, même si, nous l’avons vu, le cas du Bac 2020 est particulier.

    L’évolution du taux de réussite au Bac

    Les dernières sessions du Bac ont été particulières, car marquées par les ajustements liés à la crise sanitaire et par la réforme de l’examen. De fait, les taux de réussite font écho à ces modulations : 90,5 % de réussite au Bac 2021, 91,5 % en 2020 contre 88,1 en 2019 et… 61,7 % en 1967. Une évolution constante donc, mais aussi considérable.

    Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page dédiée à l’historique de l’évolution du taux de réussite au Bac de 1967 à 2021.

    Bien se préparer au Baccalauréat français

    Le Bac est désormais une épreuve d’anticipation. Il n’est plus envisageable de réviser au dernier moment et les choix cruciaux se font dès la première année de lycée.

    En Seconde, bien qu’il n’y ait pas d’examen, il faut déjà œuvrer pour la réussite au Bac. Tout d’abord, en choisissant avec discernement les enseignements de spécialité qui seront suivis en Première. Il s’agira de choisir des spécialités qui correspondent au projet post-Bac mais aussi qui soient en adéquation avec les résultats. Aussi, il est donc essentiel de performer dès la Seconde. Ensuite, la classe de Seconde est importante pour acquérir toutes les bases, notamment méthodologique, qui ne seront pas forcément reprises en Première. Enfin, parce que commencer son lycée avec de bons résultats est motivant pour la suite !

    En Première, il s’agira de s’assurer de bons résultats dans le contexte du contrôle continu, comptant pour 40 % de la note finale au Bac. Par ailleurs, la classe de Première est aussi le temps des premières épreuves, celles du Bac de Français, d’un coefficient de 10. Enfin, il faut prendre en considération que les bulletins scolaires de Première sont pris en compte dans le processus Parcoursup. Aussi, les notes et les appréciations sont d’ores et déjà à soigner si l’on souhaite obtenir la formation post-Bac rêvée.

    En Terminale, il faudra organiser ses révisions en vue des premières épreuves qui arrivent tôt dans l’année, en mars, pour les deux spécialités. C’est aussi l’année des épreuves terminales, en juin, de Philosophie et du Grand Oral. Enfin, le contrôle continu garde une part importante dans le calcul de la note final au Bac et le dossier de Terminale est scruté sur Parcoursup, il est dont impératif de travailler régulièrement tout au long de l’année.

    Que cela soit pour pallier des difficultés ou pour exceller, Cours Thalès propose des stages en Seconde, Première et Terminale qui répondront aux besoins et aux attentes de chacun !

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